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La marque DMC me fait toujours penser aux pelotes de laine que ma mère utilisait pour me tricoter des pulls...

Tiens, et si je vous proposais encore un petit wip 1/1 qui sort de l’ordinaire !!! Alors au départ je n’avais pas prévu d’en faire un sujet, du coup il n’y aura pas énormément de photos, et surtout j’ai commencé cette restauration il y a quelques mois déjà, et ça risque d’être un peu plus compliqué que prévu d’en arriver au bout, explications dans la suite… Ce n’est donc pas vraiment une moto cette fois, encore que, c’est finalement une moto qui va sur l’eau, et elle est souvent sur 2 roues !!! Et pis c’est de saison !!! Pour l’historique, il faut savoir que j’ai acheté ce jet-ski Super Jet Yamaha 650, de mémoire au milieu des années ’90 à un pote du boulot, on y reviendra plus tard. C’est un des premiers modèles datant de 1992 ! Je l’ai utilisé pendant quelques saisons sur Monaco, où il était entreposé dans le club local. Mais assez vite je me suis rendu compte que, d’une part j’étais fournisseur officiel de batteries ( la mienne, même marquée disparaissait au profit d’une autre morte ), d’autre part, j’ai eu quelques dégradations sur mon jet, sans que les auteurs même identifiés ne prennent en charge ces dégradations, enfin, et c’est probablement le pire, j’ai pu constater que mon jet avait été utilisé sans que j’en donne l’autorisation. C’était finalement la goutte d’eau qui fait que, comme je ne voulais plus le laisser à cet endroit, et que je n’avais pas la possibilité de le garder chez moi, j’ai choisi de l’amener en Corse ou j’avais un endroit pour le stocker à l’abri. Rassurez-vous, je ne l’ai pas amené par la mer, C’est juste un moment de repos après une belle séance ! Voilà l’attelage qui m’a permis de l’amener à l’époque !!! Ben quoi, on est encore dans les 90’ies !!! Par contre, avec mon boulot, je n’avais pas la possibilité d’aller souvent en Corse, et lorsque j’y allais, c’était surtout pour un petit Wik tranquille chez mes parents en été, avec pour seul but de me reposer. Le jet est donc resté probablement une bonne quinzaine d’années sans être utilisé dans un garage. En 2015, j’ai eu la possibilité de faire un séjour un peu plus long avant la saison, avec le but entre autre, finalement d’essayer de le faire redémarrer. Je suis donc parti avec quelques outils, et un kit de réparation de carbu, car j’imaginais que c’était la partie la plus encline à avoir été dégradée. Sur place, sur le petit établi de fortune j’ai pu démonter le carbu et voir un peu les dégâts. Bingo, tous les joins étaient morts, j’avais eu une bonne intuition ! Après avoir changé les joints, checké les clapets d’admission, ainsi que quelques autres éléments, j’ai remonté le carbu, refait un réglage sommaire, refait le plein et mis une batterie neuve ( à moi !!! ). Coup de démarreur, et le moteur est reparti immédiatement !!! Un petit réglage fin du carbu, et il était finalement prêt à naviguer, mais…. Mais mon assurance s’est mis dedans dans les date, et au lieu de me l’assurer pour Mai, ils m’ont fait démarrer l’assurance pour Juin, je n’étais plus sur place… Du coup à la fin des vacances, j’ai bien tout préparé pour l’hiverner ( avant même l’été !!! ), en me disant que finalement il serait prêt pour l’année suivante ou j’aurais encore des vacances en été, et ou je savais que je pourrais en profiter. Retour l’année suivante, je suis allé directement au garage voir dans quel état il avait passé l’année, et j’ai pu le redémarrer assez facilement. J’ai rencontré aussi deux gars avec des jets Kawasaki beaucoup plus récents que mon épave, avec qui on s’est mis d’accord pour les utiliser ensemble, avec en plus une entraide non négligeable pour les mettre à l’eau ensemble, et la possibilité de se porter secours en cas de besoin… J’avais pris un cordage au cas où j’aurais dû être remorqué. Contre toute attente, lors de nos différentes sorties, ma corde a bien servi… Mais c’est moi qui ai remorqué les deux Kawa pour des pannes différentes, mon antiquité n’a pas eu le moindre problème !!! Le tout avec de bonnes performances, je ne rendais pas grand-chose en vitesse de pointe sur mer calme ! Et puis surtout on a trouvé une nouvelle utilité à cet engin, comme on ne pouvait pas boire l'eau !!! Par la suite, ayant récupéré une place chez moi, j’ai préféré ramener le jet sur le continent en me disant qu’il serait certainement plus au sec dans un garage fermé, que dans un box possiblement humide en Corse. Malheureusement, pour différentes raisons, je n’ai plus pu m’en servir dans les années qui ont suivi, confinement et autres problèmes ne m’ont pas laissé le loisir de l’utiliser... Cette année je savais que je devais avoir des congés en Juillet, et pour moi il était donc largement envisageable que je puisse ramener mon jet en Corse pour en profiter. Las, il y a quelques semaines, lorsque j’ai essayé de le redémarrer, impossible d’obtenir le moindre résultat, il y avait clairement quelque chose qui bloquait, mais à ce stade impossible de savoir à quel niveau. Les coupables potentiels : soit le démarreur mort, soit le moteur bloqué, soit la turbine grippée, avec pourquoi pas un mix de plusieurs raisons, ou même encore une autre cause inconnue ??? Quoi qu’il en soit le but était toujours de le redémarrer, et ce pour une autre bonne raison : Le pote à qui je l’avais acheté il y a si longtemps est décédé il y a quelques semaines d’une maladie assez subite, et une des dernières fois ou je l’ai vu, sans vraiment connaître son état de santé, on avait reparlé de ce jet, et je lui avais promis qu’il remarcherait… Il était alors inenvisageable qu’il ne redémarre pas… Dans le doute, j’avais déjà commandé un démarreur neuf en me disant que quoi qu’il en soit celui d’origine avait dû faire son temps. Autre avantage, pas mal de pièces sont encore disponibles, notamment sur CMS.nl, eh oui, chez eux aussi c'est considéré comme une moto!!! Entre temps, je me suis fait rattraper par le covid, avec une forme dite « longue » qui me laisse souvent fatigué, ou plutôt vidé de mon énergie… Pas facile dés lors de bricoler dans cet état ( pas mieux pour les maquettes, je vous rassure… ). Mais j’utilise les jours ou je suis un peu moins à plat pour essayer d’avancer le projet! Je me suis dit que j’allais commencer dans l’ordre des problèmes potentiels, et donc le démarreur. Problème déjà, celui-ci se situe au bas du moteur, il fallait commencer par démonter l’échappement qui se situe au dessus. En démontant sans trop de problème, j’ai pu voir déjà que toute la partie avant de l’échappement n’était pas vraiment en bon état… Et en l’ouvrant ce n’était pas plus encouragent… Point positif, toute cette partie se trouve encore en éléments neuf, le corps de l’échappement, lui, était plutôt en bon état, et donc réutilisable. J’ai pu accéder au démarreur, mais là, impossible de le désolidariser du carter moteur… J’ai pas mal forcé pour l’enlever, jusqu’à utiliser un gros tournevis et une masse, mais ça ne bougeait pas beaucoup… Ma crainte était de casser quelque chose, particulièrement le carter moteur. A force de forcer, quelque chose a fini par casser : le col du démarreur à l’intérieur du carter… Seule solution retirer le carter du volant moteur à l’avant, pour voir si je pouvais accéder à cette partie. Pour ce faire, j’ai aussi enlevé les collecteurs d’échappement pour avoir plus de place, et surtout accéder aux supports moteur et les dévisser pour déplacer tout le bloc et ainsi avoir un meilleur angle d’attaque. A force, j’ai fini par déloger la pièce de son logement, et le tout sans abimer le carter moteur, top !!! Ancien vs nouveau !!! Du coup, moteur désaccouplé du coupleur de turbine, j’ai pu facilement le faire tourner à la main, le problème de blocage ne vient pas de là, gros ouf de soulagement !!! J’ai donc continué sur la lancée en démontant tout le bloc de turbine de la coque. La encore, j’ai poussé un gros ouf de soulagement en constatant que l’hélice tourne tout à fait librement dans le corps de turbine !!! L’intérieur de la coque au dessus de la turbine a l’air plutôt propre. Si ce n’était pas le démarreur ( même dans cet état, il tournait en le mettant sous tension électrique… En faisant tout de même un bruit moche tout pas beau ), ni le moteur, ni la turbine, l’élément de blocage se trouvait donc ailleurs… Finalement dans le passe-coque qui est la pièce au travers de laquelle passe l’axe de transmission de la turbine, supportée par plusieurs roulements étanches, mais le temps et surtout l’eau salée ont fait leur œuvre, et cette partie est complètement grippée. On peut la voir ici à coté du carter de volant moteur, et du collecteur d’échappement pas trop abimé. En inspectant la turbine, j’ai tout de même trouvé un problème d’alignement, la partie en plastique noir ne jointant plus avec le redresseur de flux en métal vert… Plus exactement il semble qu’il manque une rondelle, et que du coup le boulon commence à passer à travers le plastique ! Je démonte un peu tout ça, et je me rends compte que les boulons n’ont pas tous la même longueur, ni les mêmes rondelles, il y a donc un souci… L’hélice Skat-Trac inox ramenée d’un voyage aux USA en ‘95, elle, est en super état ! J’avais déjà prévu les boulons neufs de rechange. Las, au remontage j’ai compris un autre souci : le pas de vis dans le corps de turbine en métal brut est foiré sur plusieurs boulons, j’imagine qu’il devait y avoir des contre-écrous sur les boulons qui étaient plus longs, et que j’ai du les perdre… Si ça avait plus bougé, ça aurait pu me mettre un beau bazar là-dedans… En attendant de trouver une solution, j’ai profité que le moteur était désolidarisé de ses supports pour les changer… Non pas qu’ils avaient l’air en mauvais état, mais tant qu’à traficoter sous le moteur, autant les changer… Autre chantier en attendant, le bras d’origine de cette première série de jets à bras est de couleur grise, la couleur ne m’a jamais plu, et de plus il m’a toujours semblé qu’il y avait une partie fragilisée/fissurée sur le bas du bras. J’en ai donc trouvé un d’occaz sur LBC, il faudra juste certainement bien le nettoyer en le recevant. Au même endroit (LBC), j’ai trouvé un pad en mousse à mettre sur le bras, à un prix pratiquement donné, et je me suis dit que c’était une bonne occasion de m’amuser avec. La couleur est pas top, et il est un peu abimé, mais c’est surtout ce qu’il y a en dessous qui m’intéresse pour ce que je veux en faire. Et finalement c’est pas top mal, la mousse est encore bonne, et bien protégée. Je vais pouvoir tenter de mettre la housse bien à plat, et la découdre pour en faire des gabarits ! En attendant, j’ai pu remonter le pot avec les pièces neuves, il a une autre tête, et avec un coup de peinture noire haute température, ça devrait donner un truc sympa. J’ai aussi pu trouver la solution pour le corps de turbine, en effet il est encore possible d’en trouver des neufs à de bons tarifs, en plus celui-là est gainée de téflon à l’intérieur, à priori c’est une possibilité d’avoir un meilleur rendement de la turbine, on verra à l’usage. Ca permet donc de remonter tout ça, et de voir que l’hélice tourne toujours assez librement dans le corps, et que les nouveaux boulons viennent bien prendre dans leurs filetages. Ce problème étant réglé, il est temps de retourner à un autre, et donc de continuer le remontage. Avec notamment le démarreur. Gros problème pour le mettre en place, il y a quelque chose qui bloquait, et j’ai pu régler le problème en ouvrant le démarreur, et en le refermant par la suite. Il semble que le simple fait de décaler un peu la partie avant par rapport à l’arrière, ait réglé le problème. On peut remarquer aussi que j’en ai profité pour bien nettoyer la partie ou se trouve le joint vers l’échappement avec une lame d’abord, et du papier de verre par la suite. Malgré tout, un problème persiste avec ce fameux démarreur. Lorsqu’il est en place il n’entraine toujours pas le moteur… Batterie trop faible ou autre problème ? On verra ça plus tard… Entre temps, le covid long ne s’est pas arrangé, j’ai toujours pas mal de difficultés à trouver la motivation pour bosser dessus, et surtout mon arrêt maladie est prolongé, du coup aucune chance de le rapporter en Corse cette année… Pas grave, je continue à bosser tout de même, à mon rythme actuel… Je vais donc en profiter pour changer de corps de métier, et m’en inventer un nouveau avec le garnissage du nouveau/vieux pad de bras. J’ai commencé par découdre les deux parties pour en découper des gabarits. Suite à ça, j’ai découpé les pièces dans le nouveau matériau, en laissant un peu –beaucoup- de marge, on n’est jamais assez prudent. Après être passé à la mercerie du coin, j’ai pris le meilleur fil possible pour cet usage, sorti ma plus belle machine à coudre ( en même temps, j’en ai qu’une !!! ), et j’ai tenté cette couture. Avec une deuxième piqure qui reprend la première piqure avec le morceau rapporté. Ca a surement un nom, mais j’en ai aucune idée, j’ai juste refait comme à l’origine, et c’est une manière certainement de consolider la couture… Au final, c’est pas plus mal que si c’était pire, en tout cas pour une première tentative, ce n’est pas un résultat professionnel, mais ça me suffit amplement !!! Côté pad lui-même, en enlevant le revêtement il m’a bien semblé voir un reste fossilisé de mousse, entre le tissu qui recouvre la mousse ferme du pad, et le fameux revêtement. C’est parti donc pour tenter de refaire cette petite mousse de protection. On part là aussi sur une découpe bien plus large que nécessaire. Colle contacte en spray sur les deux parties, et on pose ça le plus proprement possible. Une fois bien sec, on découpe avec une lame neuve le surplus ( un peu comme un décalque… ), et le résultat est plutôt pas mal. Reste « plus » qu’à agrafer le revêtement sur le nouveau pad tout beau, mais pour le moment je n’ai pas d’agrafeuse pour cet usage. Elle devrait arriver bientôt. Quelques jours à attendre, et l’agrafeuse de compèt’ et sa horde d’agrafes sont arrivés. Le temps d’en comprendre le fonctionnement, et on s’y met. C’’est vrai que le dessous à pas l’air forcement tip top, voyons le dessus. De ce côté-là ça parait beaucoup mieux, et ça tombe bien, c’est le côté qu’on verra !!! Et oui, je n’ai pas pu m’empêcher de mettre un revêtement imitation carbone… Ce n’est pas parfait, il y a quelques parties un peu froncées, mais je pense que ça vient surtout de la couture, ou peut-être du matériau, il faudra voir comment il se tend par la suite, en tout las cas par en dessous je ne pouvais pas faire mieux en tension. Et pis franchement pour une première, je ne suis pas mécontent. Au pire j’ai encore assez de matériau pour en faire un autre si vraiment celui-là ne me plait pas à l’usage. Pour la suite, ça va être un peu plus compliqué : le boulot déjà accompli m’a pris beaucoup plus de temps que prévu ( j'avais prévu de finir avant début Juillet au départ du projet... ), covid oblige mes vacances sont annulées, et il va falloir que je trouve la motiv’ pour continuer sans deadline maintenant…

je vous propose un petit aller-retour sur notre stand j'ai pas pris plus de fotos de l'expo ,Rémi va s'en charger et nous en proposer comme chaque année ,une très belle expo ,avec beaucoup beaucoup de fabuleux modèles encore de nouvelles et très bonnes rencontres avec les exposants et surtout 2 bonnes journées passées avec les copains

Pour ce concours je vous propose un modèle original et intéressant à plus d’un titre. Tout d’abord l a été très faiblement diffusé. Il a été présenté au Japon lors du Wonder Festival à l’été 2000. Il est produit par la marque japonaise Atsushibashi. Ensuite il reproduit la moto qui a permis à O.Jacque de décrocher le titre suprême en catégorie 250cc en 2000. Il s’agit de la version 1999 de la Yamaha 250 YZR Chersterfield pilotée par O.Jacque et S.Nakano au sein du team français Tech 3. C’est un kit résine qui nécessite d’y adjoindre un kit donneur Tamiya de Yamaha 250 TZM 14064 ou 14067. Voilà le décor est planté.

Hello, Impossible de ne pas participer à ce concours anniversaire du forum. A force de tourner avec des voitures de légendes sur GT7 avec les copains du forum je me suis procuré une boite de l'Alfa 155 Tamiya. Donc ce sera mon sujet.

Quelques photos de ce vestige du passé que je garde précieusement.

Présent pour ce concours, y a très longtemps que j'ai pas fait de WIP juste fouiller dans mes boîtes on ne sait laquelle choisir a+ Antoine

99% de mon stock, quoi.

A noter que cette victoire tant attendue est surtout due à un coup de génie des mécanos...Ils ont enlevé les freins !

C'est la voiture de Pedro ?

Ben c'est une golf pas la peine d'en faire tout un plat.

Du coup j'ai pris quelques images supplémentaires dimanche? Je crois qu'elle fait partie de la collection du Monsieur qui a le RC30, les GSXRR750 importée du Japon, les Ducat', la Triumph ... parmi les 60 motos de sa collection ... ça peut servir à ceux qui s'attaqueront (ou se sont attaqués ) à la Heller 1/8e !

Oui, mais double franchissement de ligne blanche, qui plus est celle de l'entrée des stands, sans clignotant, et entrain de draguer au téléphone en même temps .... il y en a qui ont été pendus pour moins que ça ! En tous cas belle saison dont j'ai regardé les vidéos avec intérêt. Dommage je n'ai que le 5 ...

La référence pour les essuie-glaces de 911 chez Renaissance : https://www.renaissance-models.com/ter/index.php/autos-toutes-echelles/echelle-1-24/accessoires/produits/243-essuie-glaces-court

P'tet aussi que l'importateur a pas envie de se faire chier à stocker des ref méconnues... Par chez moi, les mags vont parfois se servir en Espagne car en France pas dispo, ou, tout simplement, réponse du commercial, n'ayant jamais éxisté !!

wow ça claque ! Terrible

Je me verrais bien jouer, mais, ai-je encore le droit ?

Plus que besoin d'aide , parce que même sur le site de la FFM il est difficile de trouver les résultats du championnat de France de ces années là (il faut peut-être un abonnement ou un accès licencié, je ne sais pas ) ! J'ai bien les MotoJ de cette époque qui publiaient souvent les classements des épreuves du championnat je n'ai pas poussé l'archéologie à les relire. J'ai trouvé quelques infos sur 1992 sous forme de lettres de France Moto dans "le grenier de Jean-Pol et Hugues" mais il n'y a malheureusement pas les listes complètes des engagements et des classements https://www.legrenierdejeanpol.com/index.php?topic=35.0 Après avoir lu ton nom (et vu le joli palmarès , bravo !), il apparait au mans en 1994 dans la lettre france Moto https://www.legrenierdejeanpol.com/uploads/90/1994-03-14.pdf Wikipedia dit que tu as été champion de boxe .... comme quoi mon invention d'identité secrète ...

On enchaine avec la CBR 1100 XX

Entièrement du même avis que Bedou et Etienne. La dose de diluant est une base informative mais fluctue en fonction de ta buse, de l'état de fraicheur de ton vernis,de la température etc... Pour info j'utilise encore un vernis qui a plus de 15 ans (première utilisation sur un modèle ICI) et donc plutôt visqueux, par conséquent je dilue encore plus. En revanche je pulvérise à une pression supérieure à Etienne. Toujours 2,0 Bar avec une buse de 0.5 Iwata HP-TH (ou Badger 175 buse medium)

Pour ceux qui ont oublié ou qui n'étaient pas nés... Un petit rappel de l'histoire. Olivier Jacque est le 5ième champion du monde français de l'histoire de la moto. Il commence assez tardivement en cyclo en 1990 à l'âge de 17 ans En 1992 il passe en championnat de France Open 125 (saison pendant laquelle on fait connaissance) il intégre en 1993 l'équipe de France de vitesse moto au côté de Régis Laconi. Quatrième du championnat de France 250, il est reconduit dans l’équipe de France pour la saison 1994. OJ termine vice champion d’Europe 250 derrière Régis Laconi et est recruté par Hervé Poncharal, le patron du Team Tech3, pour faire le championnat du monde 250 de 1995. L'apprentissage en mondial se passe bien et les bons résultats arrivent rapidement avec en point d’orgue une quatrième place au Grand Prix d’Angleterre et au Grand Prix d’Argentine. OJ est classé dixième du championnat. En 1996 il remporte son premier Grand Prix à Rio de Janeiro. Cinquième du championnat 250 en 1998 sur Honda, Olivier Jacque et Tech3 décident de changer de monture et d’opter pour une Yamaha YZR250. Olivier Jacque est malheureusement diminué toute la saison 1999 par une blessure au pied. Courageux, après une nouvelle opération du pied, OJ arrive à réaliser quelques bonnes performances et aperçoit le bout du tunnel en fin de saison. Il est septième du mondial 250 de 1999. En 2000, Olivier Jacque retrouve la sérénité perdue avec d’excellents résultats en début de championnat. Les bons classements s’enchaînent et il se retrouve en bagarre avec son coéquipier Shinya NaKano pour la course au titre. Yamaha a écrasé le mondial GP 250 lors de la saison 2000 dominée par deux de ses pilotes : le Japonais Shinya Nakano et le Français Olivier Jacque qui évoluaient sur la moto qui était clairement la meilleure du plateau : la YZR250 du team Tech3 sponsorisée par Chesterfield. Cependant, l'issue de leur lutte pour être couronné champion du monde restera incertaine jusqu'aux derniers mètres du dernier tour de l'ultime Grand Prix de la saison en Australie. Celui qui remportait la course décrochait également le titre. Nakano prenait la tête dès le départ à Phillip Island et était suivi de près par son coéquipier pendant toute la course, distançant au passage le pilote Honda Daijiro Katoh. L'opération était cependant risquée car en cas de chute du duo Yamaha, ce serait Katoh et Honda qui décrocheraient le titre. Nakano a donc mené ce poker à deux-roues jusqu'à ce qu'ils sortent tous deux du dernier virage menant à la ligne droite Gardner dans le dernier tour, le drapeau à damier à quelques centaines de mètres. Puis Olivier Jacque dépassait son coéquipier Yamaha pour franchir la ligne d'arrivée avec seulement 14 millièmes d'avance et lui arracher la couronne mondiale. La saison aura ainsi été dominée par le duo qui avait mené le classement avec huit victoires en seize course (3 pour Jacque, 5 pour Nakano), huit pôles position, 23 podiums et les deux premières places du Championnat du Monde. Photo Brno 2000 by Bruno Il est à noter que le modèle 2000 est différent du modèle 1999 dont je dispose. Outre la déco légèrement plus simple et les quelques nouveaux sponsors (BP, Vistra), on peut noter que le carénage supérieur est beaucoup plus large en 2000 avec une bulle très arrondie façon 500 YZR.

Chapeau en effet ! Magnifique

Merci Bruno pour cette magnifique photo ! Après l'aileron sous le bras oscillant façon "Épluche pilote", voici le décapsuleur de casque ! Quand je vois le nombre de flasques sur l'Aprilia, je me dis qu'on est pas loin d'assister à des GP de Honda Pan European !

Sisi JP tu rentres facile dans la catégorie.

Non quand je dis que j'ai peint avec les pots de peinture, c'est juste que j'ai utilisé les peintures humbrol préconisées. En l'occurrence du mat N° 49. Je peints avec une espèce de pistolet aérographe hyper basique. Pour le mat ca se passe très bien. Je ne suis pas du tout initié à l'aéro. Pour mes camions c'est presque toujours la bombe. Je maitrise bien cette technique, et les camions en dehors des show trucks ne nécessitent pas des peintures dingues, avec de multiples ponçages et polissages. La après application, et séchage, j'ai poli la peinture avec un polish auto, et ca lui donne la patine adéquate à ce type de 4x4.Mais bien évidemment, je ne peints pas au pinceau.

Mais comment donc ??!! tu n'as pas lu le forum en entier au moment de ton inscription ??

Bientôt 18 ans de présence pour moi et comme les copains, quelques belles rencontres et puis j'ai aussi appris beaucoup de choses sur le plan technique que j'ai essayé de reproduire sur mes propres kits. Actuellement je n'ai plus le temps de faire de maquettes ni même de beaucoup participer au forum mais je continue de venir ici pour voir les réalisations des copains. Bien vu ! A ce niveau là j'ai beaucoup appris moi aussi ! A mon inscription je devais avoir maximum 5 ou 6 kits en stock. Je viens de faire l'inventaire, aujourd'hui j'en suis à 7 kits de voitures, 2 de bus, 3 d'engins spatiaux, 2 de semi-remorques complets, 8 d'hélicoptères, et "seulement" 38 d'avions (essentiellement des liners mais pas que) et puis aussi quelques kits divers de figurines ou accessoires. Et puis quelques transkits, planches de décalques, etc... C'est vrai que c'est appréciable !!! Et au passage, merci également à toi et aux autres admins pour le boulot de l'ombre qu'on ne voit pas toujours mais qui est indispensable. Rien n'est impossible, il suffirait d'organiser une méga rencontre-expo Mautomobilienne spéciale 20 ans (facile à dire, je sais).

Pour ma part, c'est un coup de fil de David, me demandant de venir voir le forum, voire d'y faire la promotion de Renaissance! Je lui avais dit que je n'envisageais pas du tout de venir faire de la pub, pas mon genre, je déteste ça. Tout au plus, annoncer les sorties, et répondre aux questions. Je suis venu, j'ai vu, ça m'a plu, je me suis inscrut. J'avais pris ED (mes initiales) comme pseudo, et Lolo a cru que c'était Edouard (sous modération, me semble t-il) qui revenait en sous-marin ! C'est ainsi que sont nées de vraies amitiés...

Aucun problème de compatibilité, surtout que -1: la moto n'était pas une supersportive actuelle... -2: c'était mon premier gros cube, et du coup, vu mon niveau de pilotage de l'époque, ça m'allait très bien!

En effet c'est bien cela. Ca fait bien 35 ans que je faits de la maquette camion. Très vite je me suis lancé dans le scratch ou au moins les grosses modifs. Par contre au grand jamais je n'ai voulu me lancer dans l'improvisation. J'ai vu sur des forums des réalisations de 8x4 ou autres, en raboutant un morceau de châssis de Volvo, avec une chute de châssis Mercedes, et un avant de Renault. Et pour figurer les essieux supplémentaires, on a coupé un corps de feutre ou de stylo et on a collé les roues aux extrémités. Je le reconnais, une fois mis en place les accessoires, comme sur une dépanneuse, l'habillage du châssis, ca le fait, on n'y voit que du feux et le camion a plein de roues.. Mais dans mon concept, ca ne le fait pas. Du coup, si je veux quelque chose de juste, ou à défaut, au minimum cohérent, il faut de la doc. Et ca hélas, c'est impossible à avoir. A mes débuts on écrivait un courrier respectueux aux constructeurs. Au mieux on recevait une brochure publicitaire. Sinon votre demande finissait au panier du secrétariat. Aujourd'hui cela reste pareil, sauf que l'on se contente d'un mail. La seule fois ou j'ai pu bénéficier de docs sérieuses était pour la construction d'un porte voitures. Par le biais de Lohr industries à Hangenbieten. Par contre, j'avais auparavant réalisé la maquette du porte chars Lohr, grâce aux plans réalisés par un ami allemand hélas décédé depuis. Celui ci avait réalisé ce porte chars au 1/35. Lohr industrie avait eu connaissance de mon porte chars, et celui ci leur a servi plusieurs fois sur le salon Euro Satory.Mais c'est une exception. Autrement, et je le comprends, aucun membre du personnel d'un bureau d'étude ne voudra prendre le risque de vous fournir des plans, au risque de se faire licencier. Je ne le voudrais pas. Pourtant ce serait le risque. Même pour des modèles anciens, communiquer des plans revient à divulguer des secrets de fabrication et est interdit Du coup, la seule solution est les croquis des notices techniques, les photos et surtout une grande compréhension technique des matériels, pour comprendre comment ca marche et comment c'est construit. J'ai là l'avantage d'une carrière en industrie, avec une longue période à l'atelier, puis autant en bureau de maintenance. On comprends comment ca marche et on le restitue au 1/24.

Rassurez vous c'est en toute modestie que je vous poste cette vidéo ... c'est mon premier WIP car jusqu'à présent je présentais que le travail fini

Dis, elle fait envie ta chemise blanche, tu me diras ou les trouver, je suis intéressé!!!

Ah ben celle là elle passe pas sur les ralentisseurs c'est sûr

excellent ,encore un bon boulot de masquage comme on les aime et ça valait vraiment le coup ,les nuances entre vernis sont au TOP

Salut, Comme je me suis inscrit dans un club de maquettes local (à Ronchin) où ils ont une piste de slot, je me suis dit que ce serait marrant de me faire MA caisse de slot, car utiliser les modèles Fly spéciaux que JAL m'avait envoyés pour me remercier des dessins de déco (M1 Warhol et Venturi tuiles), ce serait con si je les abîmais dans une sortie de piste. J'ai donc agrandi la Lola au 1/32e il y a un an, et fait une adaptation pour le slot, notamment en créant un châssis spécifique. Mon président m'avait bien passé un caisse de GT40 qui se rapprochait dimensionnellement (empattement), mais ça ne collait pas à l'avant, le guide étant trop avance par rapport au nez pointu de la Lola. Donc, zou! Pour le moment, les roues ne sont pas les bonnes, trop grandes. Du 13" sur les vraies, et côté pneus, ça n'existe pas sur le marché, du moins dans les bonnes dimensions. J'en ai dessinées de nouvelles à partir des fichiers 1/43 (on voit l'envers d'une à l'avant), et je teste en ce moment une résine souple. Pas simple pour les paramètres, je dois en être à mon 10e essai pour que ça sorte, mais c'est bon, à présent. Enfin, faut que je trouve à présent comment teinter la résine, qui est translucide. Photos de l'autre côté, avec la jante avant à réduire; c'est la prochaine session d'impression 3D. A l'arrière, jante tournée en alu pour pouvoir visser sur l'axe, pneu en impression 3d souple, insert en 3D. Après moultes expérimentations... Les pneus en résine n'ont pas de grip, ça patine. Donc exit. Là ce sont des pneus Le Mans Miniatures, il est le seul à faire des 13" pour ses Rondeau et Inaltera. Jantes tournées pour les visser sur l'axe. C'est la 5e édition du châssis. J'ai bougé la hauteur du guide, changé l'inclinaison par rapport à la caisse, refait les mâts arrières et remonté la position de l'axe avant. ça saute moins, mais ça saute encore. Faut dire que la piste est en plastoc, donc bosses à chaque raccord... :bonk J'ai vu sur une caisse de la marque NSR que l'axe avant est flottant en hauteur, je vais en essayer une. Si ça fonctionne, y aura une 6e impression du châssis... Il sera peaufiné, au moins. Et aujourd'hui... J'ai enfin résolu le problème de sauts sur la piste... L'axe de roues avant était trop bas, donc pas assez de guide dans le rail... Donc: 7e châssis, et là, ça fonctionne! Je peux donc m'atteler à une carrosserie propre et préparer les décals... J'ai aussi commencé le faux châssis qui cache les entrailles, mais y a pas beaucoup de place... Et c'est malin, je ne sais plus où est le pilote que j'avais acheté pour l'occasion! Bon, il reste tous les détails à faire...

Les filets en un morceau, ça va être fun à poser, il va falloir arrêter le café

j'ai utilisé des décalcs de cette marque pour la déco de mon R8 LMS EVo TOP qualité

EP18 : petit flashback Oh pas longtemps dans le passé, revenir au moment du polissage . J'ai récupére les cerclage chromé (euh plutôt rouillés ! )du compteurs et du compte tour pour les traiter et les envoyer avec le reste des pièces au chromeur. il y en a un qui est bien atteint on voit le morceau de la jupe du compteur qui a cassé et dépasse vers l'extérieur, les marques de gravier qui ont piqueté le devant, les rayures sur le cercle chromé, et tout au dessus que le bord est rapé+aplati juste à droite du scotch bleu. La jupe du compteur est un habillage plastique vissé, tandis que la partie au dessus des enjoliveurs chromés est sertie/soudée sur le mécanisme du compteur qui repose sur une plaque et des colonnettes en acier. A noter que la surface d'origine de l'habillage des compteurs est un espèce de dessin "vermiculé", gravé en creux, et en plastique brut non peint ... ce qui veut dire qu'il y a toute les chances qu'une réparation soit visible au premier coup d'oeil ! Emprisonné dans le scotch bleu, il y a les morceaux de la molette de remise à zéro du kilométrage partiel. Quand je fais une pause pour réfléchir à l'ouverture du moteur, la curiosité me pousse (et le froid dans le garage !!) à dessertir le boitier du compteur (au chaud dans la salle à manger !) , puisque l'axe de la molette bouge et tourne dans le vide ... Euh , manque un bout d'axe, c'est pour ça que ça bouge et que les pignons n'engrennent plus : il n'est plus assez long pour passer dans ses deux guides Le bout manquant traine peut-être encore dans le raccord d'autoroute près de Garonor depuis 1981 ? ça fait un peu loin pour aller le rechercher ... J'ai un compteur de 400 dans la cave, je peux peut être récupérer l'axe et la molette ? Aie, l'axe du 400 et son méplat (à l'intérieur de la bague en caoutchouc) ont un diametre plus gros ... mais peut être que je peux récupérer la partie intérieure et remettre ça sur le compteur du 350 ? Pour voir faut desserir une grosse bague en alu qui tient aussi la vitre ... La photo est bougée/floue désolé; ça ne change rien au fait que les japs ont travaillé entre les compteurs du 350 et ceux du 400, et qu'il n'y a pas de pièces communes. Je vais voir si je peux trouver un compteur de 350 d'occase complet, sinon faudra trouver une autre solution. En attendant j'essaie de réparer le plastique cassé , essai d'araldite teintée ... Mélange sacrificiel de briques de Lego trempées dans l'acétone et appliqué couche par couche c'est long (et ça pue...) pas très bon, ça sèche mal en plus faut récupérer la courbure du diametre extérieur colmatage sur les pattes de fixations qui ont bien souffert : félures, trous agrandis, matière manquante, Patte quasi arrachée ... Résultat pas terrible d'autant que la réparation n'est pas solide, il suffit d'appuyer un peu fort avec les doigts pour que ça re-casse ... Le fond de compteur a souffert d'une pliure, on en trouve en Angleterre et aux US des repro (mais j'ai pas trouvé pour cette version là exactement) : est-ce que je tente un lifting comme les Stars du ciné viellissante ? j'opte pour garder les rides "naturelles " de la cinquantenaire, puisque c'est de son âge, et que je ne fais ni un modèle d'expo, ni une "fausse-neuve" moto. En attenadant le miracke d'un compteur neuf à 20 euros qui afficherait comme par magie le même kilométrage que le mien ... Je tente quelques produits sur le plastique même si je sais déjà (car il est un peu "gras") que ça ne marchera pas : sintofer, mastic carrosserie acrylique dur ou flexible, araldite, plastique en granulé à fondre, "répar tout"... Je me souviens que le carrossier qui a réparé les picots de maintien (ceux qui s'insèrent dans les anneaux caoutchouc ) des éléments de carrosserie du NSR m'avait dit qu'il utilisait un produit "special plastique", le même que pour les boucliers auto. Les réparations qu'il avait faite n'ont pas bougé, alors je le contacte : Voici le produit, un bi composant qui je pense est légèrement chargé de fibre de verre. On le mélange, l'étale comme du sintofer, ça sèche en 10 20 minutes, adhére super bien sur le plastique (mais aussi le métal, les doigts, les ongles), peut se percer, limer, scier .... Par exemple J'a réparé le tube en plastique qui fait l'articulation d'un rétroviseur extérieur sur ma voiture, et sur lequel tout le boitier du rétroviseur vient se clipser pour permettre de rabattre le rétro. Le tube avait explosé en 3, la réparation tient sans problème depuis quelques mois. Pour réparer le boitier de compteur, j'y ai passé du temps ...pas pour le gros oeuvre qui a été bien plus vite qu'avec la mixture Légo+Acétone ; Non, le plus long a été l'esthétique, pour reproduire l'effet "vermiculé" gravé avec une petite pointe "fiine mais pas trop " et "arrondie mais pas trop" en prolongement des motifs des parties intactes du boitier. Comme le mastic est gris foncé, j'avoue avoir triché et repeint les réparations pour les rendre le plus possible "invisibles". Dans quelques épisodes on verra la réparation de l'axe et le compteur réparé/remonté, car ce moment là (février-mars 2019) il y a du nouveau pour la roue avant ! ... A découvrir dans le prochain épisode ! A+

Dépassée, je ne suis pas sûr, mais qui évolue... La Sécu m'ayant mis en arrêt, je n'en poursuis pas moins pour moi, mais la 3D informatique prend de plus en plus le pas, ce qui influe sur mes passages à l'établi...

Merci ! Alors pour ma part c'est un kit Fujimi ce n'est pas le même que celui que tu as restauré. Sur le Fujimi a la base le capot n'est pas ouvrant... C'est moi qui l'ai coupé. Normalement il devrait fitter pas trop mal, au pire je compte principalement le présenter ouvert.

Imprimante laser couleur Ca me tenterait bien

Comme promis, petite mise à jour avec d'autres photos de l'Estafette, sous le soleil qui plus est Pendant que j'y étais, j'ai aussi ressorti quelques classiques

Une petite série Kawa 3pattes et une Samourai : dédicacée plus spécialement à Samourai + Scrambler ! ça fait un peu de Doc, on ne sait jamais au cas où ça prendrait l'envie à quelqu'un d'en faire un modèle au 1/12eme

Petite avancée sur le Renault ce weekend, la peinture suit son chemin. Tout d'abord, on passe toutes les pièces au primer. Plusieurs couches sont nécessaires pour couvrir les pièces transparentes. Après séchage et ponçage des petites pétouilles à corriger, j'applique le blanc, là aussi en plusieurs couches fines. Maintenant je laisse bien sécher une semaine car la prochaine étape sera le masquage avant application de la peinture orange. Vivement la suite

A+ pour les versions 2010 et 2009. Je vais essayer de les caler en 2023 et me faire un coffret "Centennial Era" avec les trois modèles.

Pendant que le vernis durcit quelques jours, je m'occupe des pièces détachées. Rien de foufou pour le baquet. Ebavurage de la pièce en résine, je préforme les sangle en photodec dedans, puis je peins toutes les pièces séparément, apprêt gris et noir brillant. Ensuite je colle les sangles dans le baquet (colle à bois), je pose les décalcos, et je verni l'ensemble en mat. Enfin je repique les boucles métalliques au pinceau. Pour la boite de vitesse, je perce ce qui doit être percé en 0.6mm, apprêt gris et noir brillant. Je pose tous les carbones et les décalcos puis je vernis en mat. Enfin, je peins au pinceau en gris métal le corps de la boite et j'applique un jus noir sur l'ensemble du gris métal. Ne reste qu'à peindre en noir mat les soufflets de cardans en résine et à les coller. On peut s'attaquer aux porte-fusées en résine. Comme d'hab', ébavurage des pièces résine, perçages des points d'arrivées de suspensions à 0.6, collage des petites pièces en photodec qui définissent les naca sur les portes-fusées avant, apprêt gris, noir brillant. Ensuite on pose les décalcos carbone, les couronnes en photodec sur les porte-fusées arrières, et enfin je vernis en mat. Sur l'autre face, on prépare les disques, et on les colle sur les sous-ensembles en cours d'élaboration. Attention à l'orientation des étriers, bien lire la notice. J'aurais dû mettre un détrompage dans les disques pour les orienter naturellement. Et on n'oublie pas les petites couronnes dorées au centre des disques. On continue avec le volant. Je commence par peindre en noir la pièce centrale en photodec. je pose ensuite le décalco dessus. Quand il est sec, je pose les petites rangées de boutons en photodec également. Je ne prend même pas la peine de les peindre. Dessus viennent se poser des décalcos. En parallèle je prépare le volant en résine.noir mat, et poignées en gris moyen salies avec un jus noir. Enfin on colle la photodec sur le volant. Pour le tableau, on ébavure la pièce résine et on reperce pour que l'axe du volant rentre bien. apprêt gris, noir brillant, décalco carbone et vernis mat. On n'oublie pas les teintes métalliques sur l'axe du volant, ni les palettes en photodec. Et on colle tout ça en un joli sous-ensemble.

Merci En fait le cadre Hasegawa est très fidèle à celui du 400KH, j'ai mesuré l'empattement par exemple qui tombe pile poil ; et fidèle à la Part list Kawa : Par contre il y a beaucoup de différences avec celui du 350S2 (qui a lui même quelques différences avec celui du 250S1 !) et ça je ne m'y attendais pas. Pour la petite histoire la 3D n'existe pas en 1971 pour réaliser ces dessins illustrant les part lists, ni les ordinateurs avec de telles capacités graphiques : tout est fait à la table à dessin, la règle à calculer et au rotring ! L'ombre portée sur les photos accentue l'effet "beaucoup plus gros" des tubes ! C'est beaucoup moins perceptible une fois toute la maquette montée (voir le Wip 400KH). Il n'en est pas de même pour le Die Cast très simplifié et qui ne tient pas la comparaison à côté (ex les carbus, les carters, les cylindres, les poignées , guidon...) Représenter tous les composants à l'échelle exacte nuirait probablement à la résistance du montage pour des maquettes "grand public". Par exemple j'imagine mal l'épaisseur d'une aile de voiture moulée en plastique au 24eme avec le vrai ratio d'épaisseur.

EP 4 : Moules et Rémoulade ! Quoi faire avec toute la ferraille du 750, le réservoir étant le plus lourd ? Il y a deux gros tétons en plein milieu qui empêchent de le monter sur le cadre du 250 ... couper /ablater/limer ? faisable avec un Dremel+ meule/fraise... mais le poids va déséquilibrer toute la maquette, genre culbuto à l'envers..; et pas sûr qu'il se monte "tip top" La forme est modifiable, mais ça ne règlera pas le problème du poids ... et j'aime pas bousiller une joli peinture. Pareil pour le dosseret : je garde le 750, et le modifie ?? au risque de tout perdre si je me loupe ? ... Et si j'essayais de les copier, puis de les modifier ?? les .... mouler ? J'suis pas à l'aise avec le silicone+résine, pas assez patient peut être. Alors je tente des solutions alternatives: La Blue Stuff ramollit dans l'eau et reste malléable pendant quelque minutes, le temps de la presser contre la pièce à reproduire. si on se loupe on peut la replonger dans l'eau chaude, et recommencer. On mélange les deux composants du Milliput pour travailler la pâte pendant 5 minutes environ, le temps de la presser contre l'empreinte . La durée de séchage dépend du dosage des 2 composants, et vu que je fais le 50/50 à l'oeil ... J'ai quand même fait une empreinte du réservoir qu'il faudra reprendre au mastic ... et au couteau+ scalpel+perceuse+meulese : je n'ai qu"une empreinte extérieure, il faut creuser l'intérieur pour qu'il accepte le passage du cadre ; on dira que c'est un "master" test. (Tout ça doit bien faire rire les pros des Kits et TK résine ) Le Milliput reste dur à travailler, prend assez mal les détails (car pâteux et légèrement granuleux), et devient cassant dans les faibles épaisseurs. Dans le Forum, Il y en a qui maquettent au Ferrero, d'autres aux Hagen dasz, moi c'est barquette individuelle de St Moret : J'ai aussi essayé la résine acrylique : on ajoute de l'eau, ça coule dans le moule, et cristallise en une quinzaine de minutes ; pour une bonne dureté quelques heures. Liquide = prend très bien les détails même ceux qu'on ne voudrait pas ! l'Acrylique a l'aspect du plâtre en plus léger, elle est très cassante dans les faibles épaisseurs. Mais on peut recoller à la Cyano. J'ai tenté les dosseret avec plus ou moins de réussite ... en blanc la résine acrylique, en gris foncé un mastic de réparation plastique automobile Les caches latéraux en Acrylique (blanc) et aussi en Milliput : Creusés et charcutés à l'intérieur + quelques ajouts-tests de matériaux, pour rejoindre la forme de ceux du 350S2 Bon, après quelques heures jours de prise de tête, voilà le travail ! Frankenstein (voir épisodes précédents) n'a pas réussi du premier coup, moi non plus ; mais je suis pas fier tout de même. Est-ce que ça vaudrait le coup de remodeler le dosseret avec un coup de pâte pour lui donner une forme correcte, pour le re-mouler ensuite ? premier essai pas terrible ... je crois que je vais tenter autrement. Il y a aussi la selle : J'ai envisagé de la modifier "direct dans le lard" en retirant la sangle et les joncs latéraux ... mais la matière est un vinyle caoutchouteux pas sympa à travailler comme je l'ai constaté en la démontant. De plus la partie inférieure joue les bananes depuis sa séparation d'avec le cadre (n'y voyez pas là une allusion à la vie de célibataire après un divorce !), alors je tente la recette Blue Stuff+ Milliput A croire que le clonage a fait vieillir la copie, qui a des rides que l'original n'avait pas ! Eh oui, la "blue stuff" ne s'agglomère pas toujours complètement quand on la malaxe et peut emprisonner de l'air ou des plis si on ne la presse pas assez fort contre le modèle ; tout comme le Milliput selon comment on l'a mélangé. L'avantage ici c'est qu'il faut supprimer des reliefs, plus facile/rapide que de regarnir des creux. Je vous épargnerais les aller et retours pour voir si ça peut "matcher" sur le cadre du 250KH : C'est pire que l'arrangement d'un mariage entre un Roi et une Princesse à la Renaissance ! Mais Il faudra pas mal de coups de limes et de reprises au mastic tout autant pour approcher la ressemblance avec l'original que pour rendre un possible montage sur le cadre de la maquette, ici avec ses 2 parties scotchées "à blanc". Après pas mal d'errances et même si c'est loin d'être finalisé, voici une première base qui m'a ramené un peu de sourire et encouragé à continuer La selle au second plan est la vilaine chose fripée vue au sortir du moule quelques images plus haut, transformée après quelques heures passées au rayon Charcuterie-Chirurgie-Esthétique ; les cicatrices ne sont pas sèches, mais on ne fait plus "beurk" en la voyant ! (Nota : à ce stade on est mi septembre. Le rythme des post peut laisser penser que ça va vite, mais il n'en est rien ! Je poste des étapes qui sont déjà réalisées.) Puisque j'ai évoqué le cadre un peu au dessus, il faudra que j'y revienne car c'est "beaucoup plus moins simple" que je le croyais... le cadre du 250KH Hasegawa a finalement beaucoup de différences avec celui du vrai S2, et ça empêche entre autres, le montage de l'habillage ! Mais ça, ce sera pour un prochain épisode ! Je vois quelques très bons élèves qui suivent régulièrement, mais il y en un paquet de motards qui n'ont pas fini d'hiberner ... Hé les gars, le printemps c'est pour bientôt ! ... faudrait peut être se réveiller ?