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Alfa 158 F1 - 1951


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Alfa 158 F1

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ALFA ROMEO.

Comment parler de cette voiture sans commencer par parler succinctement de la marque?

La marque Alfa Romeo vit le jour le 24 juin 1910 lorsqu'un groupe industriel de Lombardie rachète la production du constructeur français Darracq et la re baptise "Anonima Lombarda Fabbrica Automobli"(ALFA). Elle aura le nom que nous connaissons tous actuellement à partir de 1916 suite au rachat de la marque par un industriel, Mr. Nicolas Romeo.

La première Alfa voit le jour en 1911. Il s'agit de la 24HP.

Pendant la première guerre mondiale, Alfa, pour survivre construira moteurs d’avions et de tracteurs, des locomotives et des cuisinières électriques.

Pour ce qui nous intéresse plus, la première incursion dans le monde du sport automobile intervient en 1914. La Grand prix 1914 dispose d’un moteur de 4500CC pour 88cv.

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Des années 20 aux années 50, Alfa s'illustre surtout dans le monde du sport automobile, délaissant quelque peu la gamme grand public. C'est durant ces années que ce sont écrites les plus belles pages de la firme, période d'incessante innovations avec entre autre en 1931 l' apparition de la Tipo A, première voiture avec un moteur 12 cylindres, la naissance de la première monoplace de Grand Prix, en 1932, ...

Un jeune pilote fait son apparition dans cette belle histoire. Il s'agit ni plus ni moins que de Mr. Enzo Ferrari. Sous son impulsion, Alfa Corse est crée. Il s'agir du département compétition d'Alfa Romeo. Lorsque pour des raisons financières, "Alfa Corse" est mis en sommeil Enzo Ferrari fera courir les Alfa sous sa propre bannière, la Scuderia Ferrari.

En 1934, l'Italie fasciste voyant en Alfa Romeo un excellent vecteur de propagande à travers le monde, confie la direction sportive d'Alfa Romeo à Enzo Ferrari. En lutte directe avec les puissantes écuries allemandes que sont Mercedes et Auto-Union, les Alfa sont à la peine. L'Alfetta que Ferrari commande à son ingénieur Gioacchino Colombo n'y changera rien, les Allemandes ne cessant de dominer jusqu'à l'éclatement du conflit mondial.

La seconde guerre mondiale oeuvre donc à ses ravages et Alfa arrête la production des modèles civils et de course pour se consacrer de nouveau comme en 1914 à la fabrication de moteurs d’avions et de camions.

La guerre passée, Alfa Romeo est la 1ère "grosse" équipe à renouer avec les championnats automobile. De grands noms tel que Jean-Pierre Wimille ou Felice Trossi conduiront les petites Alfettes à la gloire.

Nino Farina mènera l'équipe au sommet en remportant le premier championnat du monde de F1 en 1950 ! Cette année là, le championnat est dominé par les 3 "Fa": Nino Farina, sacré champion du monde , mais aussi Luigi Fagioli et aussi un certain Juan Manuel Fangio dont nous reparlerons...

L'année suivante, c'est Fangio qui grâce à l'Alfetta coiffe la première de ces cinq couronnes mondiales. Poussées dehors par le changement de réglementation technique, les Alfa tirent alors leur révérence.

Les Alfetta ayant tirée leur révérence, je vais en faire de même sur l'historique de la marque.

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L' Alfa 158 F1.

Surnommée "Alfetta" à cause de sa taille réduite, l'Alfa 158 est dotée d’un moteur d’un litre et demi de cylindrée avec une puissance très élevée, obtenue grâce à deux compresseurs Root.

Sa forme et son aérodynamisme fait réèllement penser à un cigare...

En maintenant le concept d'origine, elle est restée présente et a gagné des courses sur les circuits du monde entier pendant treize années, entrant ainsi de plein droit dans l'histoire du sport automobile moderne comme la monoplace à la carrière la plus longue.

Née dans les ateliers de la Scuderia Ferrari en 1937 sur la base d'un projet de l'ingénieur Gioachino Colombo avec la collaboration de l'ingénieur Alberto Massimino, spécialiste des suspensions et des boîtes de vitesses, elle n'aura de cesse d'écumer les grands prix.

Selon les coutumes de l'époque, l'appellation « 158 » fait référence à la cylindrée de 1,5 L et au nombre de cylindres (8). Le moteur est suralimenté avec un compresseur volumétrique « Roots ». Dès les premiers essais au banc, ce moteur montre ses hautes qualités de performance et de fiabilité. Les ingénieurs Alfa Romeo arrivent à en tirer 180 chevaux à 6 500 tours/minute, une puissance qui, pour sa première participation en course, est portée à 195 ch à 7 000 tours/minute.

En 1947, grâce à l'adoption d'un compresseur volumétrique Roots à deux niveaux, la puissance passe à 275 ch à 7 500 tr/min sur le modèle 158/46B. Cette année-là, l'Alfetta 158 remporte les première, deuxième et troisième places du VIIe Grand Prix de Suisse, le 8 juin, à Bremgarten, avec respectivement Jean-Pierre Wimille, Achille Varzi et Carlo Felice Trossi. Les trois pilotes Alfa Roméo se classent dans le même ordre au VIIe Grand Prix de Belgique, le 29 juin, sur le circuit de Spa-Francorchamps. Lors du Grand Prix de Bari, le 13 juillet, remporté par Achille Varzi, Consalvo Sanesi arrive second. L'Alfetta 158 gagne également le XVIIe Grand Prix d'Italie, le 7 septembre, qui se déroule au Parc Sempione de Milan. La victoire revient à Carlo Felice Trossi, tandis que les trois autres Alfetta en course finissent à la deuxième place avec Achille Varzi, à la troisième avec Consalvo Sanesi, et à la quatrième avec Alessandro Gaboardi.

En 1948, une fois la saison terminée, l'Alfetta 158 voit sa puissance encore augmenter pour atteindre 315 ch à 7 500 tr/min avec le modèle 158/47. Cette année-là, elle remporte le VIIIe Grand Prix de Suisse, le 4 juillet, à Bremgarten, avec Carlo Felice Trossi vainqueur devant Jean-Pierre Wimille. Au cours des essais, Achille Varzi se tue lors d'une sortie de piste. L'écurie Alfa Roméo rafle les trois premières places du XXXVe Grand Prix de l'Automobile Club de France, le 18 juillet, à Reims-Gueux, avec Jean-Pierre Wimille vainqueur devant Consalvo Sanesi et Alberto Ascari à bord de la seconde Alfetta 158. Ensuite, elle gagne le XVIIIe Grand Prix d'Italie le 5 septembre, avec Jean-Pierre Wimille, ainsi que le Ier Grand Prix de l'Autodrome de Monza, le 17 octobre, aux quatre premières places, avec Jean-Pierre Wimille, vainqueur devant Carlo Felice Trossi, Consalvo Sanesi, et Piero Taruffi.

L'année 1949 débute de la pire des manières pour l'Alfetta et pour l'automobilisme mondial. En effet, le 28 janvier, au cours des essais du Grand Prix Juan Domingo Peron, sur le circuit du Parc Palermo de Buenos Aires, Jean Pierre Wimille, un des jeunes pilotes les plus prometteurs de l'écurie Alfa Romeo, se tue dans un accident à bord d'une Gordini. Peu de temps après, c'est Carlo Felice Trossi qui disparaît, emporté par une maladie incurable. En quelques mois, l'écurie Alfa Roméo qui a dominé le monde de la compétition durant les trois années précédentes, se retrouve pratiquement anéantie. Alfa Romeo décide alors de ne participer à aucune compétition cette année-là.

L'année 1950 signe le retour de l'Alfetta en compétition avec sa participation au premier Championnat du Monde de Formule 1, avec une équipe entièrement nouvelle, dans laquelle figurent deux pilotes italiens, le jeune Giuseppe Farina, et Lugi Fagioli, né en 1898, ainsi qu'un pilote argentin de presque 40 ans dont on dit le plus grand bien, Juan Manuel Fangio.

Avec une puissance de 350 ch à 8 600 tr/min, et un poids de seulement 700 kg, qui donne un rapport poids/puissance de 2 kg/ch, l'Alfa Romeo 158 ne connait aucune rivale et s'adjuge six des sept Grand Prix de cette première saison mondiale (on considère sept Grand Prix, car bien que les 500 Miles d'Indianapolis soient ajoutés au calendrier du championnat, aucune écurie et aucun pilote européen n'y participe). Le dernier des sept Grand Prix de la saison, le XXIe Grand Prix d'Italie de 1950, qui se déroule le 3 septembre sur le circuit de Monza, est remporté par une Alfa Romeo 159 F1, évolution naturelle de l'Alfetta 158, avec Giuseppe Farina comme pilote, qui remporte ainsi le premier titre de Champion du Monde de Formule 1.

Les lauriers remportés lors de cette première aventure mondiale de l'Alfa Romeo 158, après treize années de domination, sont extraordinaires :

3 premières places au Grand Prix de Grande-Bretagne le 13 mai 1950, avec Giuseppe Farina devant Luigi Fagioli et Reg Parnell,

1re place au Grand Prix de Monaco le 21 mai 1950, avec Juan Manuel Fangio,

2 premières places au Grand Prix de Suisse le 4 juin 1950, avec Giuseppe Farina devant Luigi Fagioli,

2 premières places au Grand Prix de Belgique le 18 juin 1950, avec Fangio devant Fagioli,

2 premières places au Grand Prix de France le 2 juillet 1950, avec Fangio devant Fagioli,

3e place de Fagioli au Grand Prix d'Italie le 3 septembre.

On peut compléter ce palmarès avec le record des 5 tours les plus rapides en cinq Grand Prix et cinq pole positions. Les qualités mises en avant par tous les pilotes qui ont la chance de conduire les Alfa 158 sont ; puissance, vitesse, fiabilité et une maniabilité extrême.

A suivre...

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Juan Manuel Fangio.

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Né le 21 juin 1911 a Balcarce (Argentine) il fut 5 fois champion du monde, en 1951, 1954,1955 et 1956. Véritable légende, il prendra aisément la place du pharaon qui me manquait pour justifier mont titre.

Après avoir ouvert un garage avec son père et ses frères en 1933, il fit ses première courses en 1936 au volant de la Ford A d'un ami, préparée dans l'atelier familial. Dans les mois suivants, il renouvelle l'expérience à plusieurs reprises, avec la Ford A, puis avec une Buick V8 et enfin avec une Ford V8 de 85 chevaux, qu'il engage en 1938 dans le "Gran Premio de Necochea". Troisième de sa manche qualificative, puis septième de la finale, Fangio prend peu à peu conscience de ses qualités de pilote.

Après s'être lancé dans des courses routières, très populaires dans son pays, il participe, dès la sortie de la guerre, aux temporades; courses sur circuit lors de l'été austral au cours de laquelle les meilleurs pilotes mondiaux (alors essentiellement les Italiens et les Français) viennent se frotter aux gloires locales.

En 1949, Fangio est incorporé à une équipe constitué par l'Automobile Club d'Argentine pour courir en Europe. Rapidement, l'épopée européenne de l'équipe d'Argentine vire au triomphe, puisque Fangio enchaîne les succès avec une insolente supériorité dans les épreuves .

En 1950, il rentrera avec Farina et Fagioli, les 3 "Fa" dont je vous parlais plus haut, dans l'équipe Alfa. De nouveau, il fera grande impression et le premier hat trick (pole position, meilleur tour en course et victoire) de l'histoire de la Formule 1, dès la deuxième course du championnat du monde, lors du Grand Prix de Monaco, le 21 mais 1950. Il s'impose également en Belgique et au Grand Prix de l'ACF, mais plusieurs abandons lui coûtent le titre mondial. Il doit se contenter de la place de vice-champion, 3 points derrière Farina.

Malgrès quelques exploits sortants du lot, c'est est fini de la gloire de Fangio. Séries de malchances, accidents graves, fortes dissentions avec Ferrari qui ne seront à peine appaisées par sa victoire en 1956 à Nurbürgring et qui conduiront & sa séparation de l'écurie.

Ce n'est qu'en 1957 qu'il retrouvera tout son aura au volant d'une Maserati. Il s'impose en Argentine, à Monaco, à Rouen (malgré des pneus usés jusqu'à la corde qui l'obligent au grand plaisir des spectateurs à une démonstration de pilotage en glissade dans la vertigineuse descente du Nouveau-Monde - Fangio dira alors que sa monoplace était plus efficace ainsi qu'avec des pneus neufs). Contraint à l'abandon en Angleterre, il reprend sa marche triomphale en signant, le 4 aout 1957, sur le toboggan du Nürburgring, ce qui reste encore de nos jours considéré comme l'un des plus beaux exploits de l'histoire de la Formule 1. Retardé de près de 45 secondes à la mi-course suite à un ravitaillement cafouilleux, il entreprend une remontée d'anthologie sur les pilotes Ferrari Mike Hawthorn et Peter Collins. Au prix d'une prise de risque de tous les instants et battant 8 fois de suite son propre record du tour, il parvient à revenir sur les « échappés » et à les dépasser dans le vingt-et-unième et avant-dernier tour de la course. Au soir de ce Grand Prix d'Allemagne d'anthologie, à l'issue du duquel il a obtenu la vinqt-quatrième (et dernière) victoire en championnat du monde de sa carrière, Juan Manuel Fangio obtient — alors qu'il reste encore deux courses à disputer — son cinquième titre (dont quatre consécutifs) de Champion du monde de Formule 1. Deux deuxièmes places à Pescara et à Monza viendront compléter une saison triomphale.

En 1958, il se retire des championnats de F1. Malgrès quelques belles course on peut dire que cette année signe sa fin de carrière.

Il décedera le 17 juillet 1995, agé de 84 ans.

La maquette.

Il s'agit d'un kit de la marque Renaissance. Il est au 43°. Composé de nombreuses - vraiment de nombreuses pièces, il étonne par sa précision et sa beauté. Tout cela n'a d'égal que le nombre de difficultés qu'il cumule. Il va y avoir du sport sur ce montage, mais, si j'y arrive, il y a de quoi réaliser là un petit bijou.

Contrairement à mon habitude, je n'ai pas fais de KR avant de le commencer. Il est maitenant trop tard pour cela. Désolé.

Vous découvrirez donc cela avec moi au cours de ce montage.

Allez, je me tais et je commence. Mais par quel bout commencer?

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Edited by DeD
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Sur que c'est plus facile de trouver de la doc.

Pis d'abord, mauvaise langue, y a pas que du copier collé, c'est remanié, na :totote. Pis en plus, faut encore trouver les docs, les lire, les compulser, espèce de médisant. :lolo :lolo

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Gégé et Lilip; c'est clair qu'il est en forme en ce moment ce Jérôme... :lolo. Et pour le 43, c'est sûr qu'une fois qu'on y a gouté... :wub:

Merci Gtjunior78. Oui si tu as de la doc, je suis preneur avec plaisir. Merci à toi.

Etienne, Bah, j'ai quand même dis que durant cette période, il ne s'était pas passé grand chose. Faut croire que je suis plus doué pour écrire des con...ies que pour les trucs sérieux. ;) Pour ta proposition de KR, je veux bien, ça serait sympa. Merci à toi.

Allez, je commence le montage. :rock

Je vais commencer par m'occuper de la carrosserie. Il y a visiblement pas mal de boulot dessus. La gravure est bonne et la résine ne souffre pas trop de bulle. Toutefois, il y a quand même du travaille d'affinage et d'ajustement pour que toutes les pièces s'adaptent bien.

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C'est surtout, pour le moment sur l'adaptation du châssis sur la carrosserie que cela se joue.

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Après pas mal d'ajustements cela rentre plutôt pas mal.

Tiens, puisque nous voyons cette partie, je pense que je vais modifier le système de fixation. En effet, si j'utilise les vis fournies dans le kit, il y a fort à parier qu'elles se voient une fois le modèle fini. Je pense donc combler ces trous et la fixation final se fera à la toute fin, à la colle bi-composant.

Allez, je me lance dans un des morceaux de choix qu'offre ce kit. Le but du jeu est de former le capot. On part d'une pièce en photo découpe plate et on doit arriver à la forme cylindrique du cigare.

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Pour faire cela, le kit donne un gabarit en résine.

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Il faut donc former la pièce en utilisant ce gabarit et divers cylindre de bois. Ici des pinceaux. Pour m'aider, j'ai chauffé la pièce afin d'attendrir le laiton. C'est assez long à faire car il faut y aller assez doucement. Avec les ailettes, le risque est en effet assez grand de plier la photodec à cet endroit si on met trop de force. Enfin, c'est du moins l'impression que j'ai eu. C'est assez douloureux pour la pulpe du bout des doigts aussi... ;)

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Ce n'est pas encore parfait mais c'est pas trop mal. Maintenant, soit je collerais le capot sur le cigare, soit je reprendrais un peu la forme.

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Toujours dans mes histoire d'ailettes, je me suis occupé des latérales. J'ai commencé par ajuster l'emprunte dans la résine et la pièce en photo découpe. Là, il y a vraiment eu du sport. L'emprunte était en effet un peu plus petite que la photo découpe, surtout coté gauche. Enfin, a force de travail, ça passe.

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Bon, ceci étant fait, je me suis dis qu'il n'était pas trop logique ce ce soit comblé derrière ces ouïes. J'aimerais bien que l'on puisse apercevoir le moteur à travers. Puis, des ailettes avec du pleins derrière... Il y avait pas mal de possibilités, comme, par exemple un petit jus noir une fois la peinture finie. Oui, mais à aurait pas la chance d'entre apercevoir le moteur à travers... J'ai donc finalement procédé de la sorte, ne choisissant pas le facilité mais le rendu.

Pour commencer j'ai masqué l'emprunte à 0.7mm...

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Une fois cela fait et après avoir "sécurisé" les côtes au crayon de papier, j'ai... :

Perso, j'aime bien :);).

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A ce jour, les deux cotés ont étés fait.

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Voilà où j'en suis pour ce démarrage.

@+++

Edited by DeD
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:bendisdonc Minimum 3 titres de champion du monde (51,54,55), et il ne s'est pas passé grand'chose? :lolo T'en faut beaucoup, dis donc!

Sinon, tu as fait comme il fallait pour la découpe, il va te rester à affiner la coque par l'intérieur, histoire d'avoir plus de place pour le bouzin et ses accessoires.

L'air de rien, si je n'ai pas fait les découpes moi-même, ni affiné la coque, c'est juste pour une question de moulage, pour ne pas fragiliser à l'extrême...

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:bendisdonc Minimum 3 titres de champion du monde (51,54,55), et il ne s'est pas passé grand'chose? :lolo T'en faut beaucoup, dis donc!

Ouais, j'ai trop simplifié visiblement. Bon, c'est clair que je suis plus doué pour raconter des histoires débiles comme sur la F40 ou la Simca. Je ferais ça la prochaine fois... ;)

Sinon, tu as fait comme il fallait pour la découpe, il va te rester à affiner la coque par l'intérieur, histoire d'avoir plus de place pour le bouzin et ses accessoires.

L'air de rien, si je n'ai pas fait les découpes moi-même, ni affiné la coque, c'est juste pour une question de moulage, pour ne pas fragiliser à l'extrême...

Je vérifierais bien tout et affinerais ce qui est nécessaire et à ma porté. Je comprends pour le moulage. C'est malgré tout très solide après avoir ajouré.

Salut,

Très belle auto que cette Alfa!

Je ne sais pas si tu as déjà fait ton choix pour la peinture, mais le rouge "Alfa Rosso" (ZP-1098) de chez Zero Paint est magnifique.

Bon montage!

Pascal :ph34r:

Merci Pascal. Dans mon petit stock de barbouille, j'ai, je crois cette peinture (ZP). Je l'avais acheté en prévision de ce kit. Il n'y a a pas de référence écris dessus mais il y a quand même écris Rosso Alfa. C'est bien celle là? C'est celle que je compte utiliser pour cette peinture. Rien de contre indiqué avec le polu, je suppose, non?
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