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Peugeot De Retour Au Dakar


pidric

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Pendant toute la durée du Dakar, nous vous proposons de retrouver des informations régulières en direct de la course.

 

Bonjour à tous
Nous y sommes ! Juste après le déballage des cadeaux de Noël, nous avons bouclé nos bagages direction Buenos Aires. Le 29 décembre, toute l’équipe était à pied d’œuvre à l’usine PSA de Palomar pour récupérer les frets maritime et aérien et préparer tout le matériel pour s’attaquer à l’épreuve de rallye raid la plus exigeante au monde. Pas moins de 30 véhicules (dont les 4 voitures de course) et 94 personnes sont mobilisés pour hisser le plus haut possible les couleurs de PEUGEOT. Nous avons débuté dès le 30 décembre par un roulage à Arawak en banlieue de BA pour « déverminer » les voitures devant plus de 200 personnes (VIP, medias, etc…) invités par PEUGEOT et Total Argentine.

Humilité, respect, concentration et travail d’équipe sont les valeurs que Bruno Famin, directeur de PEUGEOT SPORT, a souhaité rappeler avant le grand départ. C’est dans cet esprit que nous avons aussi passé le cap de la nouvelle année. L’occasion nous est donnée de vous souhaiter à tous une bonne et heureuse année 2016. De notre côté, tous rassemblés avec les 4 équipages à la cantine PSA de Palomar, nous avons dîné sobrement puis rejoint notre hôtel bien avant le coup de minuit. Dès le 1er janvier à 10h30 nous attendaient les vérifications administratives et techniques. Une certaine fierté de présenter nos quatre voitures, mais aussi une grande fierté de nos 8 pilotes et copilotes d’arborer les couleurs de PEUGEOT. Très attendus, ils ont répondu avec sourire et convivialité à toutes les sollicitations.

Passé cet exercice des vérifications, place désormais à la course et au prologue. Nous avons retrouvé nos repères avec cette fois une année d’expérience : utile pour organiser les camions, la logistique, les départs de la grande caravane ou nos propres valises… direction Rosario pour un bivouac dit « light ». Tout le rallye ne prenait pas en effet cette route, beaucoup allant de Buenos Aires à Villa Carlos Paz directement. De notre côté, hors de question de laisser nos quatre voitures sans nous ! Le prologue pouvait être un vrai piège… il le fut avec notamment un passage de rio indiqué en profondeur de 30cm…. Il manquait juste 70cm de plus dans le road book distribué le matin et scruté par le copilotes avant le podium de départ… l’occasion pour nos 4 stars du volant de s’offrir un dernier repos !

Carlos Sainz, qui ne ménage jamais ses efforts, est rentré à fond dans le fameux rio et y a laissé son capot avant. Stéphane Peterhansel, Cyril Despres et Sébastien Loeb ont été plus mesurés ! Dans tous les cas, ce fut la photo du jour et très rafraîchissante après plusieurs journées à près de 40°. Le team a posé ses valises sur le circuit de Rosario (lieu de la finale du championnat du monde de Rallycross où le team Peugeot Hansen a œuvré il y a un mois !). Dépliage des tentes, des duvets et autres matelas… retrouvailles avec le camping ! Le catering en version light.. Bref nous y sommes avec hâte de rentrer dans le vif du sujet dimanche pour la première étape entre Rosario et Villa Carlos Paz. Sur la route dès 6h du matin pour rejoindre la ville d’arrivée, nous avons essuyé une tempête terrible avec une pluie diluvienne, un vent déstabilisant et un orage violent. Au bout de quelques heures, la nouvelle est tombée : pour des raisons de sécurité, la spéciale était annulée. Nous avons récupéré nos 8 pilotes/copilotes et passé encore du temps à bichonner nos 4 PEUGEOT 2008 DKR ! Ce balai a fait le plaisir des invités de PEUGEOT Belgique, Japon ou les B2B et autres guests de la marque. Forcément le rythme n’est pas encore là et nous piaffons à l’idée de nous mesurer à la concurrence. Il faut rester concentrés. Au moment d’écrire ces lignes nous attendions des informations quant à l’étape 2 de ce lundi entre Villa Carlos Paz et Termas de Rio Hondo. Elle sera amputée d’un tronçon mais la météo est à nouveau très menaçante. Entre canicule et eau, nous avons là encore quelques difficultés à gérer avant même que ça démarre !

Prochaines aventures « inside » vendredi !

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En direct du Dakar : Episode 2

Bonjour à tous

Que de choses depuis notre dernière communication.

Nous enchaînons les jours sans savoir lequel nous sommes réellement. Nous raisonnons en étape et non en date !

Nous sommes rentrés enfin dans le vif du sujet lors de l’étape 2 entre Villa Carlos Paz et Termas Rio Hondo… 559 km à parcourir par notre « caravane » afin de nous rendre sur le tarmac du circuit qui faisait office de bivouac. Le temps que toute l’équipe s’installe, nous apprenions la victoire de Sébastien Loeb/Daniel Elena assortie d’un doublé pour PEUGEOT grâce à Stéphane Peterhansel/Jean-Paul Cottret. Première victoire pour une PEUGEOT 2008 DKR sur le Dakar !

Evidemment notre joie était grande mais elle est restée très mesurée car ce même jour Carlos Sainz/Lucas Cruz ont perdu beaucoup de temps suite à un problème technique. Sur un gros freinage, le moteur a calé et n’a redémarré que 13 longues minutes plus tard. Carlos termine à 11 min de Sébastien… cela en dit long sur l’attaque de l’espagnol. Nous savons que nous sommes vulnérables et que tout peut arriver. Le temps de féliciter nos « héros » du jour et de nouveau tout le monde était au travail pour préparer les voitures pour le lendemain.

Malgré la chaleur et les insectes en tout genre qui nous ont accompagnés toute la nuit nous privant de précieuses minutes de sommeil, nous avons attaqué l’étape 3 entre Rio Hondo et Jujuy avec panache. Départ 6h du matin pour rejoindre un bivouac situé dans une caserne. Une tempête incroyable avec la foudre qui s’est abattue à quelques mètres des antennes de l’organisation, des coulées d’eau et un terrain en herbe qui s’est transformé en champs de boue avec certains camions enfoncés jusqu’à l’essieu. Ce type de bourbier avait créé le cauchemar des concurrents en spéciale. Peut-être avez-vous vu les images à la télévision des équipages qui ont galéré pour se sortir de là ?!

Les nôtres ont vraiment fait la différence avec un nouveau succès de Sébastien, cette fois devant Carlos. Pas le temps non plus de se féliciter, place à la mécanique. Notre principale mission est de refaire des voitures à neuf car elles partiront le lendemain pour une étape marathon sans assistance ni autorisation non plus aux équipages de faire de la mécanique. Pas beaucoup de sommeil et surtout une impossibilité de monter les tentes dans ce champ ! La grande débrouille fut de rigueur.

Le lendemain nous avons quitté ce terrain à 8h direction la Bolivie, laissant nos 4 équipages sans nous. Cette étape marathon est pour nous un des premiers juges de paix. On sait que les PEUGEOT 2008 DKR sont désormais performantes mais qu’en est-il de la fiabilité ? A l’issue de la boucle autour de Jujuy pour la 4

 

e étape, nous étions assez émus. Une triplé et mieux encore nos quatre voitures dans le top cinq ! Jamais nous n’aurions envisagé un tel scénario avant de partir. C’est « Peter » qui s’impose devant Carlos et Sébastien. Quant à Cyril, il fait un super boulot et c’est certainement l’une des plus belles surprises de ce Dakar. Il a fait un step incroyable. Les garçons ont donc trouvé refuge sans nous mais avec la visite de Maxime Picat, d’invités chinois et néerlandais !

Pendant ce temps, nous avons de notre côté parcouru 465 km en plus de 7 heures pour rejoindre un bivouac de transition à Tarija après la frontière bolivienne avant de reprendre la route le lendemain pour 642 km ralliant Tarija à Uyuni. On se serait bien passé de cette longue distance d’autant que nous n’avions aucun réseau téléphonique pour suivre la course et la fameuse 2

 

e partie de l’étape marathon avec notamment un passage à 4600m d’altitude, le plus haut de toute l’histoire du Dakar… En dépit d’un accueil phénoménal en Bolivie, nous avons attendu l’info et surtout constaté les problèmes de Cyril. Certes,

Sébastien gagne devant Carlos mais non exempt de soucis : le turbo pour Cyril et un souci de gestion de suralimentation pour Sébastien et Stéphane.

A l’heure d’écrire ces lignes, nous regardons tout ça, le tout à 3600m d’altitude… encore des choses à raconter !

A lundi.

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En direct du Dakar : épisode 3 !

Bonjour à tous

Dur dur… Uyuni en Bolivie pendant 2 jours avec vent de sable, température du matin… 2°C et de l’après-midi, 24°C, bivouac à une altitude à 3700m, voilà le programme de l’équipe sur le Dakar pour les étapes 5 et 6.

Nous avions prévu, avec le soutien d’un médecin qui nous accompagne sur toute l’épreuve, un dispositif spécial pour pallier cette altitude à laquelle nous ne sommes pas forcément habitués. Certes, Vélizy est sur une colline mais nous en étions loin ! Un « open bar oxygène » a été mis en place permettant à chacun d’entre nous de reprendre un peu son souffle. Les maux de tête, le manque d’air, associés au travail à réaliser et à la fatigue, ce fut vraiment un passage difficile.

Néanmoins, nous devons reconnaître que ce fut un spectacle somptueux. L’accueil des Boliviens fut extraordinaire. Ils étaient des milliers tout au long de la route ou du bivouac et débordaient d’un enthousiasme contagieux !

Puis les paysages… quelle richesse ! A chaque col franchi, c’était une vision différente de paysages et de couleurs, une vraie terre de contrastes. La sensation d’avoir traversé la forêt amazonienne, franchi quelques cols de l’Atlas marocain ou encore d’avoir foulé les terres arides de Mauritanie… Finalement, Dakar n’est peut-être pas si loin !

De quoi oublier, ou presque, les 17 heures de route entre Uyuni et Salta pour rejoindre le bivouac de la journée de repos. Des heures pendant lesquelles évidemment nous avons dormi, regardé ces beautés mais aussi été stoppés pendant quelques heures en raison de la météo avec notamment l’effondrement d’un pont et de brusques montées des eaux.

Les camping-caristes de l’équipe s’en souviendront longtemps. Nous disposons de 5 Camping-car dans lesquels dorment les équipages sur le bivouac. Ce sont les derniers à partir chaque matin et du coup ce jour-là, la grosse galère du jour, ce fut pour eux… Prenant leur mal en patience, ils ont dégusté un plat lyophilisé (emprunté aux équipages !) avant qu’un local ne vienne muni d’une pizza les accompagner dans leur attente. La solidarité est effectivement présente dans ces pays traversés, autant que sur le rallye.

Cyril Despres, qui était tombé en panne de turbo en montant en Bolivie, a été tracté par Romain Dumas pour nous rejoindre au bivouac le soir. Voilà des gestes qui rappellent aussi ce qu’est le Dakar ! Nous voilà enfin à la journée de repos, synonyme de mi-course.

Une journée qui, pour l’équipe, n’a rien de reposant. Tomber les moteurs, remettre les autos à neuf totalement, tout vérifier, checker, bichonner pour repartir sur une ultime semaine où 3 de nos voitures occupent les 3 premières places.

Loeb, Peterhansel et Sainz ont hissé haut les couleurs de PEUGEOT depuis le coup d’envoi. Les trois ont décroché des victoires d’étape.

Cyril, quant à lui, poursuit sa route et a signé, depuis son problème de turbo, des supers chronos et assuré de belles étapes avec des remontées endiablées.

Aucun des 4 n’a été exempt de problèmes techniques mais une chose est certaine, ils ont le sourire, sont toujours très complices et solidaires dans le team. Il règne ici une ambiance studieuse, calme et concentrée.

En dehors du prologue, nous avons gagné toutes les étapes de ce Dakar mais les différentes alertes techniques nous poussent aussi à ne rien négliger. La route est encore très longue avec, après les étapes WRC, de vraies étapes de rallye-raid avec des dunes, du cassant, du vrai hors-piste où la navigation aura aussi sa place.

A vendredi !

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En direct du Dakar n°4

Bonjour à tous,

Quelle semaine !

De Salta lundi, nous avons attaqué la deuxième moitié du rallye, cette fois avec un parcours « rallye raid » au menu : du hors-piste, du très cassant, des dunes, … Bref, de quoi augmenter une avance ou tout perdre. Par où commencer ? Par les tonneaux de Sébastien Loeb dès le lundi et son incroyable boulot avec son copilote Daniel Elena pour réparer et ramener la voiture ? Ou bien la chaleur écrasante qui a nécessité l’arrêt de la course le mardi ? Dans les deux cas, l’équipe n’a pas eu beaucoup de répit. Parfois des doutes aussi.

Pour refaire la voiture de Sébastien et Daniel, les mécaniciens des trois autres voitures ont porté renfort afin de permettre à l’équipage de repartir. Puis la chaleur, qui a bien écrasé aussi les hommes. Lourde et étouffante, ponctuée en fin de journée d’un vent de sable, puis dans la nuit l’orage de pluie d’une assez forte intensité qui abaisse, temporairement seulement, la température ambiante… nous vous laissons imaginer notre aspect général !

Le Dakar, c’est épuisant mais c’est aussi palpitant. Le retour des Mini aux avant-postes laissait présager une bataille difficile. Et elle le fut. La pression est montée d’un cran avec notre adversaire qui cherche le moindre prétexte pour nous déstabiliser et des écarts qui se resserrent. Loeb, Peterhansel puis Sainz se sont relayés en tête du classement général. Ces trois guerriers ont pointé en 31 secondes au terme de près de 400 km de chrono ! Mais Nasser est revenu à 15min. Pas de possibilité de gérer l’effort, il faut attaquer.

Rivés sur nos téléphones en attendant les chronos pendant les longs trajets entre bivouacs, nous avons suivi ces spéciales avant de nous retrouver dans le bivouac ensemble chaque jour. Montage des tentes, préparation du matériel... un quotidien rôdé ! Mais ce mercredi avait une saveur particulière. Lorsque la ligne téléphonique a affiché « appel entrant Carlos Sainz »…. La soupe était à la grimace. Bruno Famin lui a demandé de rester à côté de sa voiture et d’attendre l’assistance pour tenter jusqu’au bout de la ramener et nous permettre de la réparer. Jusqu’au bout nous y avons cru car notre objectif fixé au départ était d’amener les 4 PEUGEOT 2008 DKR à l’arrivée. Malheureusement, nous n’avons rien pu faire, notamment dans le temps imparti très court. Ce début de semaine fut le tournant du rallye. Le Dakar venait de désigner le leader des PEUGEOT en la personne de Stéphane Peterhansel.

Désormais, Cyril Despres/David Castera et Sébastien Loeb/Daniel Elena se transformaient en ange gardiens sur la piste… et quels anges gardiens !

Loeb et Elena apprennent en accéléré. Tonneaux, « jardinage », ensablements, crevaisons, mécanique… ils n’ont pas beaucoup été épargnés mais en dépit de cela, ils pointent dans le top 5 des étapes ! Quant à Cyril et David, ils forcent l’admiration de tous. Ils ont même signé un 2

 

e chrono. Ils n’ont pas commis d’erreur et n’ont jamais manqué de sacrifier leur propre résultat pour aider. Vous avez certainement vu les images à la TV de Cyril qui a tiré à la corde Sébastien suite à la casse d’un cardan à 2km de l’arrivée !

Un stress dont nous nous serions bien passés mais nous voilà désormais à deux étapes de l’arrivée. On ne relâche pas notre attention car tout peut arriver même si à en croire le parcours, les grosses difficultés sont derrière nous.

Mais ce qui fait aussi la réputation de cette épreuve, c’est son côté impitoyable… alors on scrute les voitures, on change, on analyse, on se réunit. La concentration est là, la fatigue aussi et on compte chaque minute qui passe. Stéphane Peterhansel et Jean-Paul Cottret sont dans le même état d’esprit. Ils sont dans le détail jusqu’au bout. Stéphane s’est imposé 6 fois en moto et court après sa 6e victoire en auto ! On a envie d’y croire… mais avant cela passons ces 2 étapes.

A lundi !

 

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En direct du Dakar : épisode n°5

Bonjour à tous,

Nous l’avons fait !

Les deux dernières étapes nous ont paru interminables ainsi qu’à l’équipage leader « PETER/POLO ». Tout d’abord, celle reliant San Juan à Villa Carlos Paz. Près de 500 km tracés sur des pistes très étroites, pas du tout à l’avantage de nos 2008 DKR. Stéphane Peterhansel a roulé sous haute escorte pendant tous ces kilomètres avec Sébastien Loeb/Daniel Elena placés à 200 mètres derrière eux et Cyril Despres / David Castera à quelques kilomètres.

Malgré ce dispositif, nos trois équipages sont arrivés épuisés le soir au bivouac. Marqués par une étape plus éreintante que prévu, ils ont mis du temps à reprendre leur forme. Côté équipe, nous avons comme d’habitude passé beaucoup de temps sur les voitures.

Bruno Famin nous a réunis pour nous rappeler que nous ne devions rien négliger. A 1 heure du matin, tout le monde était encore sur le pont. L’ultime spéciale de 180 km peut, elle aussi, réserver des mésaventures dont on se passerait bien si près du but ! Et le message de cette ultime étape est enfin arrivé… Sébastien termine avec panache en offrant la 9

 

e victoire d’étape pour PEUGEOT et surtout Stéphane/Jean-Paul ont franchi l’arrivée et s’imposent. PEUGEOT gagne !

En liaison vers Rosario, nous avons brandi les drapeaux PEUGEOT aux fenêtres de nos voitures et avions hâte de nous retrouver tous ensemble pour enfin féliciter nos héros sur ce podium tant rêvé. Depuis l’arrivée du Dakar 2015, nous n’avons jamais relâché. Une année tendue, une année de travail intense, de pression mais aussi de grande concentration avec l’objectif de progresser. Au-delà d’une évolution, nous avons vécu une révolution. Nous n’aurions jamais pensé lever ce trophée de victoire et agiter nos drapeaux français et PEUGEOT sur le podium. Nous espérions montrer un fort niveau de performance, nous l’avons fait ! Mais nous n’imaginions un tel résultat que dans nos rêves ! La récompense d’une année de labeur acharnée !

Même Stéphane et Jean-Paul n’y croyaient pas. Très superstitieux et pour cause, Stéphane avait déjà perdu un Dakar dans la dernière spéciale, ils ne pensent et ne parlent jamais de çà avant la ligne. Chacun a aussi son « grigri ». Stéphane a confié son « bandana fétiche » avec lequel il avait déjà gagné son 1

 

er Dakar il y a 25 ans, à son épouse après le podium !

Par contre, pas le temps de trop fêter ça. A peine descendu de ce podium, retour à Palomar à l’usine PSA : rangement, nettoyage, préparation des frets mais aussi grand débriefing des équipages et de l’équipe technique pendant de très longues heures… le Dakar 2017, c’est déjà demain !

Merci pour votre soutien pendant ces trois semaines intenses. Nous avons souffert de la fatigue, de la météo très complexe cette année puis de la course et ses aléas mais nous nous sommes sentis portés ! A très vite pour de nouveaux défis sportifs.

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  • 3 weeks later...
  • 11 months later...
Le 14/01/2017 à 17:06, vince78 a dit :

Triplé des 3008 DKR à l'arrivée

Peterhansel, Loeb, Despres

Dumas, 8éme

 

Splendide, dommage que Carlos ait du abandonner.... Quelle bagarre a coup de seconde entre les 2 premiers sur des spéciales aussi longues.

 

eric

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